Les membres de la famille d’Este ont apporté une contribution notable au développement de l’art en Italie, avec des peintres tels que Pisanello, Jacopo Bellini, et du Nord, comme Rogier van der Weyden dont les Este lui achetèrent plusieurs œuvres. Le studiolo de Leonello d’Este, dédié aux Muses, a été peint par les meilleurs artistes de l’école de Ferrare.
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Alexandre VI Borgia
La production artistique à Rome durant cette période comprend des épisodes éclatants avec des peintres comme Pinturicchio, ou Filippino Lippi.
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Les Della Rovere à Urbino
Francesco Maria I della Rovere Originaire de Savona, la famille Della Rovere semble avoir été d’humbles origines. Le premier personnage important de la famille fut […]
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Jules II Giuliano della Rovere
Le mécénat de Jules II est principalement identifié à la Voûte de la chapelle Sixtine par Michel-Ange, aux Stanze de Raphaël et les architectures de Bramante.
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Borso d’Este
On doit à Borso d’Este la décoration du Salone dei Mesi du palais Schifanoia, dont les peintures témoignent de la primauté de la culture courtoise et chevaleresque à la cour de Ferrare.
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Alfonso I d’Este
Le premier seigneur à faire appel aux services de Titien est le duc Alfonso d’Este. Le travail le plus important qu’il réalise est la décoration des Camerini, avec la série de toiles mythologiques que l’artiste appelait « poésies ».
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Léon X, Jean de Médicis
L’ère de Léon X a les caractéristiques d’une période insurpassable, liée au parcours de Raphaël, à la montée de son école et au séjour romain de Michel-Ange.
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Le Trecento : l’éclosion de la Renaissance
Dès les années 1280-1290, les prémices de la Renaissance s’annoncent en Italie centrale. Une métamorphose picturale déclenche un processus irréversible : la rupture avec Byzance.
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Clément VII Médicis
Le sac de Rome referme un cycle. Depuis quelque temps déjà, des artistes comme Giulio Romano ou Sebastiano del Piombo avaient commencé de quitter une ville.
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Les derniers ducs de Ferrare
Ferrare, ce centre de la culture figurative et littéraire, servit alors de décor de grands spectacles où se consumait l’identité chevaleresque de la splendeur de son âge d’or.
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Le Trecento : De Rome à Assise, les précurseurs
Vers 1300, grâce au mécénat du pape Nicolas III puis de Boniface VIII, Rome devient le lieu d’une effervescence artistique à laquelle met fin l’exil en Avignon.
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Giotto et l’école florentine
Au début du XIVe siècle, avec Giotto, la peinture prit une place déterminante dans les arts figuratifs, avec la création d’une « école florentine ».
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Le Trecento à Florence : Giottino et la « manière douce »
Vasari a défini la peinture post-giottesque comme « une manière très douce et très unie », qui sera portée aux plus hauts sommets par Giottino.
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Le Trecento à Sienne
À Sienne, vers 1315, avant même la mort de Duccio (1318), une nouvelle génération de peintres qu’il a sans doute formée prend la relève.
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La peinture du Trecento à Rimini et Bologne
La culture toscane et l’art de Giotto pénètrent d’abord dans l’Italie septentrionale par l’intermédiaire des peintres de Rimini.
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Les grands centres artistiques : Padoue et Venise
Padoue, ville d’université toute proche de la puissante Venise devint, grâce à la présence de Giotto, l’une des capitales de la peinture italienne.
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Le style maniériste
Le terme « maniera », d’où découle « maniérisme » (manierismo) en italien, semble généralement employé dans la littérature artistique du XVIe siècle.
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Pontormo
Pontormo devint l’un des représentants de la « manière » florentine élaborée à Florence au début du XVIe siècle.
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Rosso Fiorentino
Rosso Fiorentino fut l’un des créateurs de la « manière » florentine avec le Pontormo et d’autres artistes qui avaient étudié les cartons de Michel-Ange et de Léonard de Vinci, pour les deux Batailles.
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Le maniérisme à Florence
À Florence, la tendance descriptive caractéristique du maniérisme de la seconde moitié du XVIe siècle, pu incontestablement se donner libre cours.
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